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[2021-2022] La saison des Lions


Pastore

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@Un_Vrai_Fan²

tiens un peu de lecture tu dormiras un peu moins … 🤫 ce soir 

 

Selon Fouad Arzouk, professeur d’anthropologie et membre de l’IRCAM (l’Institut Royal de la Culture Amazigh au Maroc) ces fresques géométriques gravées à même la peau ont perdu toute leur signification au fil des âges. "A l'origine, dans la région du Rif, les femmes se tatouaient par ornement, pour plaire mais également pour indiquer leur niveau social ou leur appartenance à une quelconque tribu". 

De plus, poursuit Fouad Arzouk, le tatouage devait surtout être considéré comme une parure, un ornement, un tracé qui met en emphase le corps de la femme. L’érotisme, selon la tradition berbère, se devait d’être tout en sous-entendu, du khôl allongeant le regard de la femme aux tatouages traditionnels sur les zones érogènes -au niveau du haut des cuisses, entre les seins et l’aine- censés la rendre plus désirable le jour de sa nuit de noces. Et le chercheur de préciser: "le pigment du tatouage était composé de suie (cette matière de couleur noire qui résulte de la combustion, déposée par la fumée dans les conduits, ndlr) et de sang, une façon d’éloigner les mauvais esprits qui pourraient rôder autour du nouveau-né ou de la femme enceinte".

L’anthropologue britannique Susan Searight explique dans l'ouvrage Le tatouage chez la femme berbère marocaine au Moyen Atlas et pays Zemmour, que ces ornements "non obligatoires et ne représentant pas le signe d'une tribu, sont géométriques et de couleur bleu/noir ou bleu/vert. Dans le Moyen Atlas (province de Meknès), les tatouages sur de nombreuses parties du corps sont de véritables dentelles corporelles faites avec une aiguille et du noir de fumée".
Des dentelles qui ne se font pas sans douleur. Pour Aïcha, la séance de tatouages, qui s'est étalée sur plusieurs semaines à raison de deux heures par jour, n'est pas un souvenir des plus agréables. "La douleur était très vive. Je m’allongeais sur le lit et mon père m’attrapait la tête et déposait une couche de suie là où il voulait faire le tiggas (tatouage en berbère, ndlr)". La suite? Le père de famille piquait la peau de sa fille avec une épine de rose et dessinait des motifs ayant plusieurs significations. "Le sang mélangé à la suie pénétrait et on me mettait de la laine pour éponger le sang restant".

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il y a une heure, Azrou a dit :

@Un_Vrai_Fan²

tiens un peu de lecture tu dormiras un peu moins … 🤫 ce soir 

 

Selon Fouad Arzouk, professeur d’anthropologie et membre de l’IRCAM (l’Institut Royal de la Culture Amazigh au Maroc) ces fresques géométriques gravées à même la peau ont perdu toute leur signification au fil des âges. "A l'origine, dans la région du Rif, les femmes se tatouaient par ornement, pour plaire mais également pour indiquer leur niveau social ou leur appartenance à une quelconque tribu". 

De plus, poursuit Fouad Arzouk, le tatouage devait surtout être considéré comme une parure, un ornement, un tracé qui met en emphase le corps de la femme. L’érotisme, selon la tradition berbère, se devait d’être tout en sous-entendu, du khôl allongeant le regard de la femme aux tatouages traditionnels sur les zones érogènes -au niveau du haut des cuisses, entre les seins et l’aine- censés la rendre plus désirable le jour de sa nuit de noces. Et le chercheur de préciser: "le pigment du tatouage était composé de suie (cette matière de couleur noire qui résulte de la combustion, déposée par la fumée dans les conduits, ndlr) et de sang, une façon d’éloigner les mauvais esprits qui pourraient rôder autour du nouveau-né ou de la femme enceinte".

L’anthropologue britannique Susan Searight explique dans l'ouvrage Le tatouage chez la femme berbère marocaine au Moyen Atlas et pays Zemmour, que ces ornements "non obligatoires et ne représentant pas le signe d'une tribu, sont géométriques et de couleur bleu/noir ou bleu/vert. Dans le Moyen Atlas (province de Meknès), les tatouages sur de nombreuses parties du corps sont de véritables dentelles corporelles faites avec une aiguille et du noir de fumée".
Des dentelles qui ne se font pas sans douleur. Pour Aïcha, la séance de tatouages, qui s'est étalée sur plusieurs semaines à raison de deux heures par jour, n'est pas un souvenir des plus agréables. "La douleur était très vive. Je m’allongeais sur le lit et mon père m’attrapait la tête et déposait une couche de suie là où il voulait faire le tiggas (tatouage en berbère, ndlr)". La suite? Le père de famille piquait la peau de sa fille avec une épine de rose et dessinait des motifs ayant plusieurs significations. "Le sang mélangé à la suie pénétrait et on me mettait de la laine pour éponger le sang restant".

On a quand même un minimum de connaissance sur notre culture khoya.

Je te taquinais comme j'ai dis plus haut , mes deux grand mèere ont Thigass

Et en plus , je serais mal placer pour me moquer de ta famille , je viens de tomber sur mon grand père sur Youtube (interwieuvé par Nador City), ouaaaaaaaaaaaaaaah , il m'a tué avec ses lunettes et sa casquette alors qu'il a presque 90 ans:mdr:

Modifié par Un_Vrai_Fan²
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il y a 13 minutes, Un_Vrai_Fan² a dit :

On a quand même un minimum de connaissance sur notre culture khoya.

Je te taquinais comme j'ai dis plus haut , mes deux grand mèere ont Thigass

Et en plus , je serais mal placer pour me moquer de ta famille , je viens de tomber sur mon grand père sur Youtube (interwieuvé par Nador City), ouaaaaaaaaaaaaaaah , il m'a tué avec ses lunettes et sa casquette alors qu'il a presque 90 ans:mdr:

Tu m’as fait peur 😬

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Il y a 2 heures, Azrou a dit :

Souvent c’était le père qui tatouait ses filles avant de les marier 

Ma grande mère en avait un et une de mes tantes aussi paix à leurs âmes. Mon père paix à son âme me disait qu'il ne voulait pas que sa petite soeur se tatoue et elle a mis de côté de l'argent jusqu'à avoir assez pour le tatouage sans demander l'avis à personne :smile:.

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Le 19/02/2022 à 23:20, Marokouta a dit :

Merci pour cette belle présentation de l’équipe nationale du Maroc , t’as juste oublié de présenter le maestro qui coache tout ce beau monde :laugh:

Il se la coule douce lui, chkoun b7alou, il va se réveiller dans quelques jours pour nous faire un copier coller de sa liste et son discours.

Ama dak le big boss, rah nssa l'koora, il passe son temps à justifier le prix dyal l'bota w l'farina f dik l'7oukouma dyal del.

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Il y a 9 heures, remus a dit :

Je déteste également, ces tatouages , mais dans les années 50, le tatouage amazigh était un signe de beauté. 

rebbi rebi 

Amazigh Identity in Morocco and Algeria - FUNCI - Fundación de Cultura  Islámica

Il y a 8 heures, Azrou a dit :

Souvent c’était le père qui tatouait ses filles avant de les marier 

a8a yawa !!! 

may tennit ??? ash katgoul ???

:ziyech:

Il y a 7 heures, Un_Vrai_Fan² a dit :

Un peu comme l’agriculture qui marque ses vaches:mdr::ph34r:

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il y a 41 minutes, warbix a dit :

WILIWILIWILIII ce que dis le commentateur sur Hamda... lessa9lo tohma:mdr:

l'arabe classique et la darija sont incompatible :mdr:, c'est 7chouma:biggrin:

 

ce sang froid quand même :hein:

dans un monde de bisounours avec un Hamallah, calme, posé, qui accepte la concurrence et qui ne lâche pas l'EN et les supporters pour le premier clash

qu'il nous met ce péno à la 94min face au Bénin en 2019 :fap:  le supporter marocain toujours obligé de vivre dans le rêve pour se sentir mieux

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il y a 20 minutes, Abzy a dit :

Ziyech qui sort sur blessure :vahid2:

On l'a vu très  bon fin juillet et août et dès qu'il c'est blessé on ne l'a plu revu pendant 4 mois pareil l'année dernière et rebelote il ce pète au top de sa forme comme il dit coach Courbis on appelle ça la blessure du joueur en forme  

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J’ai bien envie d’aller le voir et le gifler, on voit qu’il a rien retenu de ses dernières blessures…

YAW T’ES PLUS EN HOLLANDE LA C’EST LE CHAMPIONNAT LE PLUS PHYSIQUE DU MONDE VAS TE MUSCLER A LA SALLE, il est vraiment bête de se saboter comme ça il était sur une excellente série de 4 matchs maintenant tout est à refaire…

il prouve qu’on peut pas lui faire confiance, il est réticent du moindre effort physique c’est abusé 

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