-
Compteur de contenus
1 908 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par Smouthinho
-
Ronaldo en U17 ca va ?
-
De coach sportif en prison à l’Europe, l’incroyable parcours d’Ismaël Kandouss : "Je n’ai jamais été le joueur sur lequel on misait" Ismaël Kandouss a dû faire face à de nombreux échecs avant d’enfin devenir pro, à l’âge de 21 ans, à son arrivée à l’Union. Il n’y a pas qu’un seul chemin à emprunter pour devenir footballeur professionnel, Ismaël Kandouss pourra le confirmer. Recalé à plusieurs reprises dans différents centres de formation, le défenseur central n’est devenu pro qu’à 21 ans lors de son arrivée à l’Union saint-gilloise. Celui qui n’a jamais lâché a connu une trajectoire atypique en passant en quelques années de surveillant de baignade à titulaire en Europa League. Retour sur le parcours de celui qui rêve désormais d’une sélection en équipe nationale marocaine. Wasquehal comme premier déclic Si Ismaël Kandouss commence le football très jeune, c'est à l'âge de 12 ans qu'un premier moment clé a lieu lors d'un test réalisé au sein du club de Wasquehal, dans le Nord de la France. "J'avais passé plusieurs tours lors du test mais je n'avais finalement pas été sélectionné lors du dernier tour, se souvient Kandouss. Le week-end d'après, le hasard du calendrier a fait que nous devions jouer avec mon club contre Wasquehal et nous avions gagné 4-1. Le coach adverse est venu me voir et a demandé de me récupérer. J'ai alors fait une saison à Wasquehal… avant qu'ils décident de me virer. Mais le coach des U14 m'a dit : 'Je veux t'avoir dans mon équipe la saison prochaine, donc repasse les tests au club comme si tu étais un nouveau joueur.' J'étais donc un joueur de Wasquehal qui devait quitter le club mais qui repassait les tests… et j'ai finalement été sélectionné. J'ai pu jouer titulaire en U14, U15 et U16. Sans cela, ma carrière aurait pu prendre un tout autre chemin." Durant son adolescence, le joueur originaire de Lille tente sa chance dans plusieurs grands centres de formation français : Valenciennes, Auxerre, Troyes ou encore Lille vont voir passer Kandouss. Chaque fois, il fait partie des meilleurs mais n’est jamais repris. "Cela se jouait souvent entre moi et un autre et c’était l’autre qui était choisi. On me disait que c’était pas mal mais qu’il me manquait un petit truc. Mentalement, c’était difficile car je me disais que je n’étais peut-être pas fait pour être footballeur. À l’époque, il me manquait un peu de personnalité : j’étais assez timide alors qu’il faut parfois plus se mettre en avant dans le monde du football. Quand les années passent et que tes amis rejoignent des clubs pros, tu te dis que ta carrière se fera plutôt en amateurs. Je m’étais fait à cette idée, même si j’ai continué à charbonner à fond." Kandouss tente même sa chance en Angleterre à plusieurs reprises, du côté de Wolverhampton et de… Brighton, l’actuel cousin de l’Union saint-gilloise. "Je devais faire un test à Wolverhampton mais je me suis finalement retrouvé avec un agent dans une base militaire où il fallait un badge pour rentrer. Tout ça pour finalement faire un test non pas à Wolverhampton mais dans une équipe de D5 anglaise… C’était assez bizarre, tout ne s’est pas passé comme prévu (sourire). À Brighton, il y avait des joueurs de pas mal de pays différents. On jouait des matchs à onze contre onze et les recruteurs du club nous observaient. Quand j’ai vu les installations et les terrains là-bas, je me suis dit que l’Angleterre était un monde de fous. Malgré ces différents échecs, je ne me suis jamais dit : ‘C’est bon, j’arrête.’ J’aimais trop le football et surtout je ne savais pas ce que j’aurais pu faire d’autre : parfois je me demandais quel autre métier je pourrais faire mais rien ne me venait à l’esprit." La prison et la piscine Vu que les échecs s’enchaînent et que le rêve de devenir footballeur professionnel s’éloigne, "Isma" est dans l’obligation de travailler pour gagner de l’argent. Tout en jouant pour le club de Dunkerque (D3 française), il enchaîne les petits jobs. "J’ai été administrateur sportif, j’ai travaillé dans le marketing et j’ai aussi bossé au sein d’une prison comme coach sportif. J’organisais les séances de football, de musculation ou de ping-pong avec les prisonniers. Cela m’a appris qu’il n’y a pas que des mauvaises personnes en prison, des gens diplômés pouvaient par exemple s’y retrouver. Ils avaient fait des erreurs dans leur vie, ils devaient payer pour ces erreurs mais ils avaient aussi droit à une seconde chance. Certains travaillaient très dur pour se réinsérer dans la vie active par la suite. J’ai aussi travaillé comme surveillant de baignade : quand les jeunes venaient au centre aéré, je les surveillais à la piscine. Financièrement, cela n’a pas toujours été facile : je gagnais 200 euros par mois pour jouer à Dunkerque, j’avais la bourse étudiante et ma mère me donnait un peu d’argent. Je m’en sortais avec 700 ou 800 euros par mois, c’était le minimum pour vivre. Si je ne réussissais pas, je ne savais pas ce que j’allais faire. J’ai pris des risques mais au final, cela a payé." Dans les moments durs, Kandouss peut compter sur son cercle familial. À commencer par sa mère mais surtout sur son grand-père qui n’a jamais arrêté de croire en lui quand l’espoir de réussir était très mince. "Il a toujours cru en moi, même quand je n’y croyais plus, explique-t-il. On lui répondait que cela allait être compliqué mais il ne lâchait pas l’affaire : quand ma mère me disait que jouer en CFA était déjà pas mal, mon grand-père répondait que j’allais réussir à devenir professionnel. Il n’est plus là pour le voir mais tout ce que je fais aujourd’hui, je le fais pour lui." La sélection marocaine comme objectif Finalement, c’est un banal duel entre l’Union et le Beerschot, en décembre 2018, qui va changer la vie d’Ismaël Kandouss. Son agent l’invite à assister à cette rencontre de D1B mais il se montre d’abord réticent à venir jusqu’à Bruxelles. "Je n’étais pas chaud car je ne connaissais pas le club. À l’époque, je voulais vraiment réussir en France et atteindre la Ligue 2. Et puis, personne ne connaissait l’Union en France. J’y suis finalement allé, le niveau de l’équipe et l’ambiance m’ont plu. J’ai parlé avec le coach Alex Hayes et il m’a convaincu de signer. Il fallait encore convaincre ma mère qui n’était pas emballée par le fait que je rejoigne la Belgique. Quand on ne connaît pas, on a parfois certains a priori. Au final, j’ai réussi à la convaincre, elle m’a fait confiance et elle est maintenant très contente de ma décision." Rapidement titulaire à l’Union après le départ de Peyre et la blessure de Perdichizzi, Kandouss enchaîne les bonnes prestations en D1B. Après la montée en D1A, le Marocain a parfois été freiné par des blessures ou le Covid mais il est toujours revenu dans l’équipe. À tel point que la sélection marocaine s’est intéressée à lui. "Ils commencent à me connaître même si je n'ai jamais été le joueur sur lequel on misait, avance celui qui avait été sélectionné en U23 avec des joueurs comme Hakimi (PSG) ou Mazraoui (Bayern Münich). Mais je ne me fais pas de films et si la sélection ne vient pas, tant pis. Je sais que j'ai déjà énormément de chance d'être là aujourd'hui. Je sais aussi que je suis obligé de travailler si je veux m'en sortir, je ne peux pas me reposer sur mes acquis. Je suis fier de mon parcours. Il y avait tellement de joueurs mieux placés que moi pour faire carrière mais, quand je regarde où je suis arrivé, je fais partie de ceux qui ont le meilleur parcours. J'en profite car je sais que tout peut s'arrêter du jour au lendemain." "Il s’est acharné pour arriver là où il est" À tous les matchs à domicile et certains à l’extérieur, Ismaël Kandouss peut compter sur le soutien de sa famille. Sami, 20 ans, porte un regard fier sur le parcours de son grand frère. "J’ai beaucoup de fierté car il s’est acharné pour arriver là où il est. Il n’a jamais baissé les bras malgré les hauts et les bas. C’est ce qui le caractérise le plus : il a dû faire face à de nombreuses défaites mais il y a toujours cru. Pour lui, il n’y avait qu’une issue, c’était de devenir footballeur pro. C’est sûr qu’il y a eu des périodes difficiles mentalement mais même quand c’était plus compliqué, il a toujours continué." À force d’acharnement, le Lillois a finalement réalisé son rêve et même plus que cela en atteignant l’Europa League. "Je m'attendais à ce qu'il devienne professionnel mais pas à ce niveau-là. Je l'aurais bien vu en Ligue 2 mais jamais titulaire en Europa League… Je suis toute sa carrière dans le moindre détail et je ne m'attendais pas à ce qu'il réalise actuellement. Pour moi, il peut viser encore plus haut dans le futur. Pourquoi pas en Ligue 1 pour se montrer en France", conclut Sami.
-
[CDM 2022] Groupe F : Belgique, Croatie, Maroc, Canada
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
On ira nul part tant que le Maroc ne se respecte pas et sélectionne des joueurs de seconde divisions et des chauffeurs de banquette. Si on a 1 point au mondial, c'est déjà pas mal. -
C'est la crise frère. L'Espagne ne donne pas 1200€ de chômâge + logement à 20€ le mois + possibilité de gagner 1500€ en côté en black
-
Il joue en premier league ?
-
Il n'a pas encore signé à la Fiorentina ?
-
C'est le résultat d'une semaine en boite de nuit avec le skayri Belaili.
-
Tu ne vas jamais changer, les joueurs de seconde division et hongrie sont tes chouchous.
-
L'avènement de Regragui signifie mon retour sur le forum et en tant que supporter de l'équipe nationale.
-
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Ziyech au secours ! -
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Mamaeeeee skrskrskrskr Ounahi super arnaque, j'ai pas vu le match, mais Ounahi est pas terrible, il a juste fait un excellent match face au RD Congo. Amallah n'a pas joué depuis 3 mois. Taarabt a 38 ans, ca y est, baraka 3lih. El Kaabi, le goleador de la Durum League. Fajr baraka 3lih. Alakouch, le nouveau DJ de la selection, merci à son agent. -
Vahid = Chouha
-
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Quand j'ai dit à @Sofiane Basri qu'il fallait virer Vahid à 3 semaines de la CAN, il m'a traité de fou. Virez Vahid, virez le, on fonce droit dans le mur avec ce vieu fou. -
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Imchi i9... #VahidOut -
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Vahid, des que ce n'est pas le Sri Lanka en face, il est incapable. -
Qu'il prenne un Rudi Garcia je comprends, mais Vahid ? Il a 70 ans, il ne sait pas parler, il est vraiment nul, je ne sais pas comment la FRMF a pu pensé à lui.
-
Comment a t il eu l'idée d'engager Vahid ?
-
Je vais me faire des dreads locks.
-
Ayoub El Kaabi D2 Anglaise MDRR : " c'est un pas en avant, c'est mieux que portugal pays bas ect" R. Mmaee en écosse PTDRR : "club mythique avec grosse ambiance." Youssef En Nesyri : Joue dans un des 20 meilleurs clubs du monde : "il faut pas le selectionner, il est nul, il sait pas jouer au foot".
-
J'aurai juré il irait dans un plus grand club que Séville !!!
-
100% Ziyech le Beni Znassen 0% le bosniaque & ses amis congoides
-
100% Hakim Ziyech.
-
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Sorry, ce n'est pas l'équipe nationale. Zéros émotions. -
Il faut le licencier immédiatement.
-
[Amical] États-Unis 3 - 0 Maroc
Smouthinho a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
Un fistage en bonne et due règle.