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Nebhill

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Tout ce qui a été posté par Nebhill

  1. Club pro?
  2. C'est pas faux, on ne pas comparer Ziyech et l'autre tocard de Taarabt. Par contre je suis pas sur que Ziyech serait resté silencieux s'il avait flambé a Chelsea. Il a chauffé le banc en club, la moindre des choses c'était de ne pas la ramener.... Aprés quand tu t'embrouilles avec Renard, puis avec Vahid un moment il faut se poser les bonnes questions... D'autant plus qu'il n'a encore aucune légitimité au sein du mountakhab au vu de ses prestations.... Cela dit, et contrairement à Taarabt, je suis favorable à son retour. Il a droit a une seconde chance avec Vahid...
  3. C'est déjà pas mal, l'abscence d'En Nesyri ne se fera pas trop ressentir.
  4. Non mais sérieusement, prend juste la dernière compo du Ghana contre l'Afrique du Sud ( match important comptant pour les qualifications pour la coupe du monde). Tu te rendras compte par toi meme que l'équipe aligné par le Ghana en match de préparation est une équipe totalement remodelé. De toute facon, meme si ca avait été l'équipe premiére, ca restera un match de préparation, sans l'intensité physique des matchs de compétitions.
  5. Sauf erreur de ma part, je n'ai pas vu de topic similaire a celui ci. Et à l'image du topic des Bi-nationnaux susceptible de porter le maillot du Maroc, il serait interessant de faire la lumières sur les jeunes joueurs en devenir issue de ce centre de formation. L'académie à déjà sorti pas mal de bon joueurs ( EN Nesyri, Aguerd etc... ). Exemple: Oussama Targhalline Tawfik Bentayeb Anas Nanah Mohammed Amine Essahel Mais aussi parler de toute la partie infrastructure du centre, des formateurs etc...
  6. Mais je te rassure essam, j'ai bien compris et je suis d'accord avec toi sauf sur le fait que le But conceder c'est du à de la malchance ou que la victoire des iraniens soit un miracle. Moi je te répond juste que si on perd le match c'est parceque Bouhadouz se chie dessus. La gestion du stress, le mental ceux sont des choses qui se travaillent. Bouhadouz avec plus de maitrise technique dans son jeu de tete et avec plus d'assurance on perd pas le match. Du coup, je n'y vois ni chance ni miracle. Mais aprés ca reste un point de vue qui se défend, mais moi perso, qualifier les defaites ou le victoire par de la malchance ou du miracle, c'est dé-responsabiliser les différents intervenants (coachs, joueurs etc..) ou inversement leur enlever tout mérite qui leur ai du...
  7. Exactement, ca reste un match de préparation. Il fut un temps ou le Maroc était champion des matchs amicaux, pour au finale se planter dans les compétitions. Le niveau d'engagement et d'intensité ne sont pas les meme dans un match de préparation...
  8. Je vais pas y revenir sur ce match, mais mettre un bus devant les buts c'est aussi une stratégie de football. C'est peut etre moche, mais ca en reste une. Bouhaddouz, c'est lui qui met le ballon dans nos cages, tout comme Chippo contre la Norvége. Ca reste une faute technique pour moi. Bouhadouz à fait preuve de fébrilité peut-etre du a une mauvaise gestion du stress, chose que les iraniens ont su gérer. Donc non, ce n'est pas une victoire miraculeuse, peut-etre non mérité, mais absolument pas miraculeuse.
  9. Les miracles et la chance au football n'existent pas.
  10. Pas mauvais les intervenants, je les trouve meme trés bon.
  11. Nebhill

    Samy MMAEE

    J'irais pas jusqu'à dire que je comprend son plan de jeu, on ne va pas abuser , mais force est de constater que son groupe à l'air d’adhérer à son discours. J'étais vraiment "doubitatif" au début, mais je me dit que là on pourrait au moins lui accorder le bénéfice du doute sachant que les résultats parle pour lui...
  12. Nebhill

    Samy MMAEE

    S'il y en a bien un qui fait pas du social, c'est bien Vahid. Après il faut aussi savoir accepter que l'on a pas tous les tenants et aboutissant sur le pourquoi des joueurs sélectionnés. Vahid par avec un groupe, il y aura forcément des titulaires et des chauffeurs de banc, il y a toute une gestion de groupe à prendre en considération. Peut être que Vahid voit en Samy quelqu'un qui accepte son statut de remplaçants, va savoir... La gestion de groupe est une notion à ne pas prendre à la légére... Je suis pas fan de Vahid, mais bon plus on avance et plus je me dit que finalement c'est pas si c*n ce qu'il fait... wait and see..
  13. Profite c'est pas tous les jours Noel, les fassis ont aussi la réputation d'être des pinces
  14. France-Maghreb, le match de la détection pour les jeunes binationaux L'ère du Covid a intensifié la course à la détection des jeunes binationaux basés en France. Les trois Fédérations maghrébines n'hésitent plus à contacter les joueurs et leurs familles de plus en plus tôt. 9 octobre 2021, à Clairefontaine, les - 18 ans français battent 6-0 la sélection algérienne. (E. Garnier/L'Équipe) Flavien Trésarrieumis à jour le 4 janvier 2022 à 21h34 commenter partager La sono lancée depuis la tribune du stade Pibarot vient rompre la quiétude de la campagne yvelinoise. D'abord l'hymne de l'Algérie, puis celui de la France, joués devant une poignée de spectateurs. C'est là, sur l'un des terrains annexes du complexe bucolique de Clairefontaine, baigné par les rayons du soleil, que s'affrontent les moins de 18 ans des deux pays en cette matinée d'octobre (6-0). Pour les sélectionneurs, l'enjeu de cette rencontre amicale se résume à une revue d'effectif. Côté français, on a déjà ses repères : un mois plus tôt, les jeunes Tricolores issus de la génération 2004 venaient de disputer le tournoi international de Limoges. En revanche, en face, Mourad Slatni doit donner de sa voix de stentor : « Mehdi, replace-toi ! Yassine, monte ! » Le coach des Fennecs, privé des joueurs résidant en Algérie pour raisons sanitaires, doit composer avec un nouveau groupe. Rennes, Lyon, Marseille, Lens... Quinze des dix-huit Algériens sont licenciés dans des clubs français. Une bonne partie d'entre eux aurait pu se retrouver dans le camp d'en face, puisque beaucoup possèdent aussi la nationalité française. Ces Franco-Algériens n'ont que 17 ans, mais la Fédération algérienne leur faisait les yeux doux depuis plusieurs mois déjà. lire aussi2021, le changement de dimension de Hannibal Mejbri Convaincre des Français de changer de nationalité sportive, le phénomène a toujours existé : à la Coupe du monde 2018, on dénombrait pas moins de 52 joueurs nés et formés dans l'Hexagone parmi les différentes équipes nationales présentes en Russie. Un record. Ce qui est plus récent, c'est la stratégie de détecter les joueurs bien plus tôt, dès leur adolescence. En Algérie, en Tunisie et au Maroc, la course aux binationaux est lancée sur le territoire français, principalement à Paris, Marseille et Lyon, les trois grandes métropoles qui regorgent de footballeurs d'avenir. « Au Maroc, la politique est d'avoir environ 70 % de joueurs locaux et 30 % venus d'Europe » Ahmed Chouari, ancien scout en France pour le Maroc L'enjeu n'est pas, dans l'immédiat, d'entrer en concurrence frontale avec la France, perçue aujourd'hui comme la référence sportive absolue, en approchant les plus gros talents. Plutôt de sensibiliser des jeunes à haut potentiel de porter un jour le maillot d'une sélection maghrébine. « En France, il y a trop de "top" joueurs et il faut avoir un niveau très élevé, style Karim Benzema, pour arriver au niveau A, expose Ahmed Chouari, ancien scout en France pour le Maroc. On a plus de chances de participer à une Coupe du monde avec les Lions de l'Atlas qu'avec les Bleus. Maintenant, l'approche est de leur faire découvrir le pays, celui de leurs parents, aux binationaux qui nous intéressent. Leur dire que le Maroc s'intéresse à eux, qu'ils sont toujours considérés comme des Marocains. » Des jeunes joueurs lors d'une journée de détection à l'institut national du football de Clairefontaine (INF). (A. Gadoffre/L'Équipe) Pour les trois Fédérations maghrébines, qui n'ont pas donné suite à nos sollicitations, l'enjeu n'est en aucun cas de s'appuyer exclusivement sur le vivier de binationaux. Il est d'abord de développer les académies locales (Hassan-II au Maroc, Paradou en Algérie, Espérance en Tunisie...) et de renforcer les sélections de jeunes avec des produits de la diaspora, susceptibles d'élever le niveau. « Au Maroc, la politique est d'avoir environ 70 % de joueurs locaux et 30 % venus d'Europe », précise Chouari, à l'origine des venues de Romain Saïss ou Imran Louza chez les Lions de l'Atlas. Mais si le Maroc conserve encore un système « classique » de détection à l'étranger, avec un seul scout officiel basé en France, l'Algérie et la Tunisie ont choisi, courant 2020, d'aller plus loin dans leurs recherches de pépites. La sélection « DZ » a créé la « task-force FAF », une équipe de trois personnes, toutes franco-algériennes, chargées dans un premier temps de monter une base de données avec le maximum de renseignements sur les binationaux d'avenir. Plus de 200 noms y ont été recensés depuis. La Tunisie, elle, a ouvert le poste de directeur sportif en charge des binationaux, occupé par l'ancien international Slim Ben Othman, passé par Angers. « Grâce aux éducateurs, les Fédés maghrébines ont un maillage énorme, sauf qu'il est complètement officieux et anarchique » Un recruteur de club Pour constituer le maillage le plus solide possible sur le territoire français, l'idée, presque révolutionnaire, a été de s'appuyer sur des centaines d'éducateurs, souvent de double culture, présents dans les clubs amateurs. « Beaucoup sont devenus des petites mains des Fédérations maghrébines », explique le recruteur d'un club professionnel français. Il est impossible de les recenser, mais après l'annonce de son lancement, la task-force de la FAF aurait reçu plusieurs dizaines de candidatures spontanées. « Pendant que le travail de la FFF - qui dialogue essentiellement avec les clubs pour juger de l'évolution des joueurs en centres de formation - était au point mort durant le confinement, les éducateurs, souvent proches des familles, avaient facilement accès aux infos qu'ils recherchaient, les faisaient remonter à leur DTN ou commençaient l'opération séduction », poursuit ce recruteur. lire aussiToute l'actualité du football De Montfermeil (Seine-Saint-Denis), où le recruteur du Maroc Mehdi Madad entraîne des jeunes, au Red Star, où coachait récemment l'un des membres de la task-force FAF, Foued Kada-Hounet, nombreux sont les relais. Même si rien n'est définitif tant que les joueurs n'ont pas évolué en compétition officielle avec les A, l'Algérie s'est ainsi montrée plus rapide pour convoquer le Lyonnais Yannis Lagha en sélection en février 2021. Et le jeune attaquant (17 ans), appelé huit mois plus tard en équipe de France des moins de 18 ans, avait repoussé cette convocation. « Grâce aux éducateurs, les Fédés maghrébines ont un maillage énorme, sauf qu'il est complètement officieux et anarchique », avance un autre recruteur de club. « Ça part un peu dans tous les sens, confirme l'agent d'un jeune international algérien. Beaucoup d'éducateurs ne sont pas rémunérés, d'autres sont payés sous forme d'ordre de mission pour aller "scouter" Ça contacte n'importe comment, quelquefois sur les comptes Instagram des gamins. Certaines personnes organisent même des rassemblements sauvages en région parisienne avec des joueurs qui ne sont pas dans des clubs pro. » Le représentant d'un jeune international tunisien abonde : « Ce qui est compliqué, c'est que ça arrive tôt, dès leurs 15 ans-16 ans. Ils ne sont pas sûrs de faire carrière. On leur promet qu'ils finiront en sélection A alors qu'ils n'ont encore rien fait dans le football. On leur met en vitrine la victoire de l'Algérie à la CAN, le succès de Riyad Mahrez ou de Hannibal Mejbri. » « Quand un binational est identifié par une sélection maghrébine, à l'OM, nous prenons la peine d'en informer la DTN-FFF » Nasser Larguet, directeur du centre de formation marseillais et ancien membre de la Fédération marocaine Le nom du néo-international tunisien (18 ans) revient régulièrement. Passé par les équipes de jeunes du Paris FC et de l'AS Monaco, le milieu de Manchester United, transféré contre 10 M€ en 2019, ne compte encore qu'un seul match en pro, mais il jouit d'une forte aura en Tunisie. Consciente de faire une réelle prise en attirant l'ex-international français des moins de 17 ans, la Fédération tunisienne avait organisé, en mai 2021, une conférence de presse en grande pompe dans un luxueux hôtel de Carthage. Un lieu symbolique qui relie le prénom du talentueux joueur à celui du célèbre général qui traversa les Alpes à dos d'éléphant dans l'Antiquité. « C'est un choix important qui va influencer beaucoup de jeunes, avait alors déclaré Mejbri, récemment finaliste de la Coupe arabe au Qatar. C'est bien d'être une source d'inspiration. » En France, cette annonce n'a eu qu'un retentissement limité. Elle peut en appeler d'autres, mais la priorité de la très grande majorité des joueurs va toujours aux Bleus. D'ailleurs, si un jeune choisit une autre sélection, il arrive que la FFF soit prévenue : « Quand un binational est identifié par une sélection maghrébine, à l'OM, nous prenons la peine d'en informer la DTN-FFF, explique Nasser Larguet, directeur du centre de formation marseillais et ancien membre de la Fédération marocaine. Si cette dernière ne donne pas suite à la sélection dudit jeune, alors nous facilitons sa convocation avec la fédération du pays concerné. » Le travail de repérage des jeunes binationaux n'est en tout cas pas près de ralentir, comme le glisse un connaisseur de la fameuse task-force algérienne : « La prochaine étape sera probablement d'approcher les jeunes avant même leur entrée dans les centres de formation, pour être les premiers. » publié le 4 janvier 2022 à 21h01mis à jour le 4 janvier 2022 à 21h34
  15. Ça a sûrement été posté, mais dans le doute je post ça ici: https://www.lequipe.fr/Football/Article/France-maghreb-le-match-de-la-detection-pour-les-jeunes-binationaux/1308458
  16. Tu prends le cas des matchs des pays de l'est comme la Serbie ou les pays Nordique, il y a des matchs amicaux qui ne sont pas diffusés. Peut-être pas pour la France ou les grande nations du foot, en raison des contrats de sponsoring négociés par les fédérations de ces pays. Mais là ce n'est pas comparable. Apres, remettons les choses dans leur contextes. Le jour ou la CAN deviendra une competition qui rapporte, et que cela attire de nombreux sponsors, la effectivement les matchs de preparations non diffusé se feront de plus en plus rare... Le vainqueur de la CAN gagne à peine 4M€, en comparaison le vainqueur de la coupe de France touche a peu pres 2,5M€ (et rappelons que la france est loin derriere les anglais, espagnole, italien et meme les allemand en terme de droit tv).
  17. Nebhill

    Vahid HALILODŽIĆ

    Il ne faut pas comptant tout ce que raconte Vahid dans cet interview. Les japonais sont combattant tu ne peux pas leur enlevé cela, en réalité Vahid reprochait surtout au joueurs Nippon leur esprit Fair-Play, trop lisse meme. Un joueur japonais ne se laissera jamais tomber pour un penalty par exemple. Il leur manquait du Vice, et Vahid a essayé de leur inculquer ca avec toute la sensibilité qu'on lui connait !
  18. C'est pourtant courant ce genre de pratique.
  19. Absolument! Sage décision de Vahid
  20. Dans mes souvenirs j'avais l'impression qu'il était plus grand, mais en faite c'était ses coéquipiers qui étaient encore plus petit...
  21. C'était couru d'avance!
  22. Nebhill

    Ryan MMAEE

    Tout l'opposé de son frère en somme! Plus sérieusement , je pense vraiment que c'est le profile de joueur qui nous manquait, athlétique et rapide. En plus je le trouve complémentaire avec El Kaabi.
  23. Nebhill

    Romain SAÏSS

    La détresse dans ses yeux
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