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  1. CAN 1986 en Egypte: Les Lions méritaient mieux que la 4e place Après une double absence lors des éditions de 1982 et 1984, le Maroc a retrouvé la compétition africaine en CAN 1986 organisée en Egypte. Ce fut la 5e participation du Maroc après 1976 qui reste la meilleure avec le titre remporté En Ethiopie et l’autre en 1980 au Nigeria avec la 3e place sur le podium, alors que l’équipe nationale se contentait du simple premier tour en 1972 au Cameroun et en 1978 au Ghana. Le retour en Egypte fut donc en force pour les Lions de l’Atlas même suite à un seul tour aux éliminatoires. Après le forfait de la Sierra Leone, l’équipe nationale domina le Zaïre au second tour sur un but de Mustapha Merry (1-0 en aller et 0-0 au retour) pour tracer son chemin directement vers la terre des Pharaons. Lors de la phase finale, le Maroc commença les matches de son groupe B par 2 nuls respectivement contre l’Algérie (0-0) et le Cameroun (1-1), buts de Krimau au bout d’une heure de jeu avant que Milla ne rétablisse l’équilibre dans les derniers souffles. Le Maroc n’avait donc aucun choix que la victoire lors du 3e match, chose réalisée en battant la Zambie (1-0), but de Chilengi contre son camp. En totalisant 4 points, le Maroc rejoignit le Cameroun premier du groupe (5 pts) après avoir pris le meilleur sur l’Algérie (3-2) lors du dernier match. En demi-finales, le Cameroun avait battu la Côte d’Ivoire (1-0), but de Milla alors que l’aventure du Maroc allait s’arrêter en subissant une petite défaite du même score de (1-0) devant l’équipe d’Egypte . Cette défaite était qualifiée d’injuste puisque le buteur des Pharaons n’était autre qu’un certain Taher Abouzaid qui a sauvé les Pharaons au bout des dix dernières minutes du match mais suite à un coup franc douteux et direct alors que l’arbitre avait signalé une faute indirecte. En plus, ledit joueur Abouzaid, meneur des Pharaons, n’avait pas le droit de disputer ce match (suspension pour cause de cumul d’avertissements) avant que les décideurs de la CAF ne réunissent la veille pour le gracier sous le pressing des Pharaons. A l’époque, la Confédération africaine de l’ancien président Issa Hayatou faisait tout pour satisfaire les beaux yeux de l’Egypte, heureuse d’aller en finale pour remporter le titre en s’imposant en finale face au Cameroun grâce aux tirs au but (5-4 après le 0-0 au temps réglementaire). Lors du match du classement, le Maroc se contenta de l’essentiel en s’inclinant face à la Côte d’Ivoire (3-2), buts de Ghiati et Sahil. Dans cette CAN, la sélection marocaine avait inscrit quatre buts et encaissé cinq buts. Le Camerounais Roger Milla avait terminé meilleur buteur (4 buts) devant l’Ivoirien Abdoulaye Traoré et l’Egyptien Taher Abouzaid (3 buts chacun). Ce sont là les grands moments de cette CAN pour les Lions de l’Atlas qui méritaient mieux que la 4e place. Le Maroc qui avait réalisé lors de cette période la qualification en Coupe du Monde 1986 au Mexique, faisait beaucoup mieux que les 3 sélections du podium de la CAN égyptienne ainsi que les 4 derniers pays au classement Sénégal (5e), Algérie (6e), Zambie (7e) et Mozambique (8e). Le mérite revenait à l’une des belles sélections dont disposait le Maroc à cette période avec une formation composée de seulement 3 joueurs professionnels d’Europe à l’époque à savoir : Merry Krimau de France (Le Havre AC), alors que Aziz Bouderbala et Mustapha Haddaoui venait juste d’effectuer leur expérience professionnelle en Suisse avant de passer en France, le Wydadi du FC Sion au Matra Racing de Paris et le Rajaouis de Lausanne à Saint-Etienne. Les autres joueurs de l’équipe nationale évoluaient dans une grande majorité au championnat national dont le gardien Badou Zaki (WAC) Khalifa, Bouyahyaoui (KAC, Lamrisse, Hcina, Fadili, Khaïri (FAR), Dolmy, Byaz (RCA) Labied (FUS)… et tant d’autres. Cela sans compter l’autre star des FAR, Mohamed Timoumi, un des grands meneurs des Lions et qui était le grand absent de ce rendez-vous égyptien pour cause d’une vilaine blessure subie quelques semaines quelques mois auparavant lors du match de Coupe d’Afrique des Clubs Champions de l’AS FAR devant le Zamalek dans son fief Cairo Stade. Voilà une équipe nationale inoubliable qui allait briller de mille feux au Mondial mexicain, quelques mois par la suite pour le grand bonheur du Maroc et de l’Afrique. Rachid Lebchir
  2. CAN 1984: non qualifié Le Nigéria surclasse le Maroc aux tirs au but et se qualifie pour la Coupe d'Afrique des nations 1984. Qualifications Côte d'Ivoire 1984: Les Super Eagles ont gagné aux tirs au but contre le Maroc dimanche (après un match nul 0-0) en match retour de qualifications. Le Nigéria qui avait obtenu le match nul à l'aller (0-0) se qualifie pour la phase finale de la CAN, le Maroc est éliminé. Source: athlet.org
  3. CAN 1982: non qualifié La Zambie s'impose face au Maroc 2 buts à 0 et se qualifie pour la Coupe d'Afrique des nations 1982. Qualifications Libye 1982: L'équipe de Zambie a battu le Maroc dimanche sur le score de 2 à 0 (mi-temps: 2-0) en match retour de qualifications. La Zambie qui avait perdu le match aller (1-2) se qualifie pour la phase finale de la CAN, le Maroc est éliminé. source: athlet.org
  4. CAN 1980 Nigéria: Les Lions retrouvent le podium Les Lions de l’Atlas ont rebondi d’une belle manière à la CAN 1980 organisée au Nigeria, après le mauvais sort du simple premier tour lors de l’édition précédente au Ghana. Cette fois, les Lions étaient à un doigt de jouer la finale et renouer avec le sacre de la CAN 1976 remportée pour la première fois dans leur histoire. En 1980, le sort en a voulu autrement et les Lions terminèrent à la 3e place du podium. Ce fut la seconde meilleure CAN pour l’équipe du Maroc qui avait bien tracé son chemin vers la terre nigériane. Au tour préliminaire, le Maroc commença par un nul dans le fief de son homologue de l’ïle Maurice (2-2) avant de s’imposer chez lui sur le score net de (4-1). Au tour suivant, le Maroc cartonna le Togo sur le score fleuve de (7-0) avant de jouer à l’économie en déplacement lors du match « retour » en s’inclinant par (2-1). Lors de la phase finale, le Maroc rangé dans le Groupe B, débuta la compétition par un match nul face à la Guinée (1-1), but de Mustapha, mais concéda une défaite surprise par la suite face à l’Algérie (1-0). Lors de la 3e sortie, le Maroc condamné à gagner pour se qualifier en demi-finales, ne rata pas le coche en s’offrant le tenant du titre, le Ghana, par (1-0) grâce à un but de Khalid Labied. Ce fut un bon rachat pour l’équipe nationale qui avait terminé 2e avec 3 points pour accompagner l’Algérie (5 pts) aux demi-finales. Mais le parcours des Lions s’était arrêté, par la suite, sur un petit score (1-0) face au Nigeria qui allait remporter le sacre final (3-0) face à l’Algérie qualifiée au détriment de l’Egypte suite aux tirs au but (2-2 au temps réglementaire). Entretemps, l’aventure des Lions de l’Atlas avait connu une belle clôture avec une victoire claire et nette au match de classement au détriment de l’Egypte (2-0), buts de Khalid Labied, pour que le Maroc termine en apothéose. Khalif Labied, lui, avait eu le mérite de se classer meilleur buteur de la compétition en compagnie du Nigerian Segun Odegbami avec 3 buts chacun. Ce fut donc un exploit inédit pour nos Lions qui méritaient mieux que la 3e place du podium devant l’Egypte 4e et l’autre quatuor ayant joué seulement le premier tour, le Ghana, la Côte d’Ivoire, la Guinée et la Tanzanie. Car l’équipe nationale de cette époque venait de connaitre un remaniement pratiquement total avec la naissance d’une nouvelle génération ayant disputé sa première CAN autour du gardien de but, Baddou Zaki, Ahmed Limane, M’barek El Filali, les Aziz Daidi et Bouderbala, Mohamed Timoumi, Khalid Labied, Jamal Jebrane et d’autres dont certains anciens rescapés tels Abdelmajid Dolmy… sous la houlette des sélectionneurs nationaux Mohamed Jabrane et Hamadi Hmidouch. Il s’agissait là d’une nouvelle génération des Lions de l’Atlas qui prirent le relais après les anciens joueurs qui furent pratiquement en fin de carrière, notamment ceux malmenés par les Fennecs algériens à double reprises (1-5) à Casablanca et (3-0) à Alger dans une autre compétition, celle des éliminatoires des Jeux Olympiques 1980 de Moscou. Ce fut vraiment un coup dur pour les Lions qui n’avaient qu’à accepter leur destin maudit. Autrement dit, nos Lions n’avaient pas dénigré quelque chose qui finit par leur apporter du bien. Car, juste après, les Lions de l’Atlas vont rebondir en CAN 1980 même s’ils allaient manquer les deux éditions suivantes, 1982 en Libye et 1984 en Côte d’Ivoire, avant de retrouver celle de l’Egypte en 1986 pour terminer dans le top 4 et se relancer vers d’autres cieux notamment le Mondial de cette année avec la plus belle opportunité de se qualifier au premier tour, ce qui fut une première historique pour l’Afrique toute entière… Rachid Lebchi
  5. CAN 1978 au Ghana: Après la gloire, la tempête Si la CAN 1976 en Ethiopie fut la meilleure pour les Lions de l’Atlas, sacrés champions d’Afrique pour la première fois de leur histoire, celle de 1978 reste l’une des éditions à oublier pour le Maroc. La sélection nationale fut éliminée au premier tour de cette CAN organisée au Ghana comme lors de la première participation en 1972 au Cameroun alors qu’en 1970, le Maroc fut tout simplement absent lors de la phase finale au Soudan en se contentant des tours préliminaires après avoir raté plusieurs rendez-vous durant plus d’une décennie. Durant la CAN 1978, l’équipe nationale engagée seulement aux éliminatoires était pourtant dirigée par le même sélectionneur, le Roumain Gheorghe Virgil Mărdărescu, ayant contribué aux moments de gloire de 1976, mais avec une sélection plus ou moins remaniée. Toujours menés par le capitaine d’équipe Ahmed Faras, aux côtés de ses coéquipiers de la précédente édition dont Tazi, Smiri, Baba, Cherif, Ahardan et tant d’autres… les Lions commencèrent la phase de groupes par un match nul (1-1) avant de battre le Congo (1-0). Acila, buteur du Maroc lors de ces deux matches, n’était pas chanceux lors de la 3e sortie perdue sur un score sévère de (3-0) face à l’Ouganda. L’équipe nationale, auteur donc d’une seule victoire, d’une défaite et d’un nul, termina la compétition en 3e position de son groupe avec 3 points derrière la Tunisie et l’Ouganda, ex-aequo en première place, alors que le Congo fermait la marche (1 pt). En demi-finales, l’Ouganda avait battu le Nigeria (2-1), tandis que la Tunisie avait subi la loi du Ghana (1-0). Le match de classement se termina sur un nul entre la Tunisie et le Nigeria qui avait l’avantage de terminer sur le podium. En finale, le Ghana avait dominé l’Ouganda sur le score net de (2-0). La CAN 1978 tourna, malheureusement, le dos au Maroc. Ce fut un coup sévère pour les Lions de l’Atlas qui disposaient de l’une des plus belles ossatures de ce rendez-vous continental en compagnie du Ghana, Ouganda et Nigeria, mais aussi de la Tunisie avec laquelle le Maroc n’arrivait guère à se départager. Il suffit de rappeler que le match nul de la CAN 1978 fut le 3e en une année après les 2 autres nuls ayant sanctionné les sorties des deux pays maghrébins aux éliminatoires de la Coupe du Monde de cette période. Lors de l’avant dernier tour menant vers ce Mondial organisé en Argentine, le Maroc et la Tunisie avaient terminé les matches « ller» au stade Père Jégo et celui du «retour» au terrain Al Menzeh à Tunis sur le même score de (1-1) avant que les tirs au but ne donnent l’avantage aux Aigles de Carthage et leur grand gardien Attouga qui avait pu maitriser deux penalties ratés par Faras et Feu Petchou. C’était vraiment dommage pour les Lions de l’Atlas qui furent les premiers de l’Afrique à se qualifier pour la Coupe du Monde 1970 au Mexique suite aux éliminatoires officielles, après l’Egypte choisie par la FIFA en 1934 et sans passer par le traditionnel tournoi préliminaire. Le Maroc qui frôla, par la suite, la qualification au Mondial à deux reprises en 1974 pour cause d’un arbitrage scandaleux ayant offert l’avantage au Zaïre, seul pays africain qualifié à l’époque, et en 1982 devant le Cameroun qualifié en compagnie de l’Algérie (2 pays du Continent en Coupe du Monde pour la première fois), allait entre temps retrouver sa place en compétition de la CAN. Même si c’était entre succès et malchances, car après la gloire du sacre mérité en 1976, et la tempête sévère du premier tour en 1978, les Lions de l’Atlas allaient rebondir en CAN 1980 en terminant sur la 3e place du podium. Ce qui avait constitué, à l’époque, la seconde meilleure performance pour le Maroc en CAN. Rachid Lebchi
  6. CAN 1976 en Ethipoie: Ahmed Faras, l’un des plus grands joueurs de l’histoire du football marocain, a accepté de revenir sur le titre obtenu par les Lions de l’Atlas, à la CAN 1976, en Éthiopie, face à la Guinée. Pas besoin d’avoir une mémoire d’éléphant pour se souvenir des titres remportés par le Maroc. Il n’y en a qu’un, et son souvenir commence sérieusement à s’estomper dans les limbes de l’Histoire. C’était en 1976, en Éthiopie, lors de sa deuxième participation à une phase finale de la CAN. Ahmad Faras, qui est alors âgé de 29 ans, fait partie de cette génération qui se voit proposer ce qui est peut-être sa dernière chance de régner sur le toit de l’Afrique avant de passer le relais. « Nous avions vécu la CAN 1972 au Cameroun. Celle-ci s’était soldée par un échec car nous étions partis à Douala avec de grandes ambitions. Nous avions également eu à digérer une élimination amère de la Coupe du monde 1974 en RFA. La détermination et la discipline de l’équipe étaient nos principaux atouts », explique l’ex-buteur du SCC Mohammedia et de la sélection (42 buts en 77 capes). Les Lions sont alors dirigés par le Roumain Virgil Mardarescu, arrivé deux ans plus tôt dans le Royaume. À ses côtés, le colonel Mehdi Belmedjoub, directeur technique national. Et quand il convoque ses souvenirs, Faras se remémore un duo qui fonctionnait bien. « Je garderai toujours en mémoire cette ambiance familiale qui nous liait avec le staff technique. Mardarescu avait les idées claires. Celles-ci répondaient aux objectifs et aux principes fixés par le Colonel Belmejdoub : privilégier la notion de groupe, mettre les talents dont nous disposions au service du collectif. » Chars, typhoïde et altitude En Éthiopie, les Lions se retrouvent dans le groupe B, basé dans la ville de Dire Dawa, et héritent du Nigeria, du Soudan et du Zaïre, tenant du titre. « Les quatre équipes étaient logées dans le même hôtel. Je me souviens qu’en raison du contexte politique, nous étions escortés par des chars de l’armée. » Les conditions de jeu, dictées en partie par l’altitude (1276 m), obligent Mardarescu à modifier ses plans. « Le 4-3-3 était privilégié, nous devions nous habituer à l’altitude et donc jouer de manière différente. Il fallait gérer nos efforts, quitte à ne pas jouer de manière hyper offensive, et on a joué surtout le contre », explique l’ancien buteur, tout frais lauréat du très couru Ballon d’Or africain. Pourtant, Faras, quelques jours avant le premier match face au Soudan (2-2) est pris de frissons et de maux de tête lors d’un repas. Le diagnostic du docteur Srairi est imparable : typhoïde. « J’étais alité et je n’ai pu consommer que des liquides pendant plusieurs jours. » Notre avion a pris feu et nous avons dû rebrousser chemin et attendre de nombreuses heures dans la brousse qu’il soit réparé ! Affaibli contre les Soudanais, l’attaquant retrouve ses moyens face au Zaïre (1-0) puis au Nigeria (3-1), où il ouvre son compteur. Le Maroc se qualifie pour le tour final, réunissant également la Guinée, le Nigeria et l’Égypte. Le voyage vers Addis-Abeba est mouvementé. « Notre avion a pris feu et nous avons dû rebrousser chemin et attendre de nombreuses heures dans la brousse qu’il soit réparé ! » Faras marque face à l’Égypte (2-1) et face au Nigeria (2-1), avant d’affronter la Guinée, pour la vraie finale du groupe. En bon militaire, le Colonel Belmedjoub prend la parole devant le groupe à la veille du match, pour rappeler aux joueurs l’importance du match. L’équipe du Maroc championne d’Afrique lors de la CAN 1976. © DR Baba libère les Lions « Je me souviens d’un match très dur. Nous étions éprouvés physiquement, les blessés étaient nombreux et puis le Syli de Guinée était un peu le Brésil de l’Afrique avec les Cherif Souleymane, Petit Sorry ou Papa Camara. Nous avons été dominés par nos rivaux, d’autant plus que l’arbitre avait expulsé Semmat », se souvient Faras. « Cherif Souleymane a ouvert le score ce qui a compliqué davantage notre mission. Mais nous avons laissé passer la tempête avant de reprendre l’ascendant. Et puis à la 86e minute sur un des rares ballons que j’ai pu avoir, mon coéquipier Baba m’a demandé de le servir pour ce qui sera le but de la délivrance. » Une égalité (1-1) synonyme de victoire pour les Lions de l’Atlas puisque le système était à l’époque différent : après le premier tour, les 2 premiers des deux poules existantes devaient s’affronter à 4 dans une poule unique : celui qui en sortait premier était sacré champion d’Afrique. Le dernier match opposait ainsi la Guinée au Maroc et si la première devait gagner pour remporter la compétition le second n’avait besoin que de décrocher un nul. À leur retour au pays, les Lions de l’Atlas ont droit à un accueil enthousiaste, avant d’être reçus par le Prince héritier Sidi Mohamed. « Je garde un souvenir très tendre de ces moments de liesse. Aujourd’hui avec le recul je reste reconnaissant à tous ceux qui ont contribué à cette épopée qui a nous valu le respect et l’amour du peuple marocain… » Source: Jeune Afrique
  7. CAN 1974 en Egypte: En 1974, le Maroc avait boycotté l’édition 1974 en Egypte après le mauvais arbitrage du Ghanéen Lampety en match aller des éliminatoires du mondial 1973 remporté par le Zaïre (3-0). Le Maroc avait refusé de disputer le match retour à Tétouan. Le Maroc avait boycotté la CAN 1974 pour exprimer ses protestations auprès de la FIFA contre le Zaïre qui s’était illégalement qualifié au Mondial de cette année au détriment de la sélection nationale avec le coup de pouce d’un arbitrage scandaleux. Source: Al bayane (journal marocain).
  8. تاريخ المشاركات المغربية في الكان الكاميرون 1972: قرعة الحظ سيئ لطالما اعتُبر المغرب من بين ركائز كرة القدم الأفريقية. ومع ذلك ، لم يتمكن أسود الأطلس من التوقيع على مشاركته الأولى في المرحلة النهائية من كأس الأمم الأفريقية حتى النسخة الثامنة التي أقيمت في الكاميرون في فبراير 1972 ، في سلسلة التصفيات المتنازع عليها ببراعة. تبدأ هذه المرحلة النهائية للمغاربة في دوالا ضد كونغو فرانسوا مبيليه (الفائز المستقبلي بالحدث). في هذه المباراة ، قدم مدرب المنتخب الأيبري سابينو باريناجا فريقًا مكونًا من عدة نجوم من المكسيك 70 (علال ، بوجيما ، باخا ، بتشو ، معروفي ، الغزواني ، الفيلالي وعبد القادر) وبعض الشخصيات الشبابية مثل خليفة بختي (الجيش الملكي). والعربي أحرضان (WAC) والعربي شباك (USK) وأحمد أبو علي (ADM). وكان "الكبير" أحمد فرس هو من افتتح التسجيل (34 ") قبل أن يسجل مخلصه شباك علال قبل ثوانٍ من نهاية الشوط الأول . الشوط الثاني لم يحدث أي تغيير وانتهت المباراة بنتيجة (1-1). وبعد 48 ساعة ، تعادل المغرب وبنفس النتيجة (1-1) أمام السودان. وكان نجم شباب المحمدية -فراس- هدافاً مجدداً حيث سجل هدف المغرب (32 د) قبل أن يتعادل البشارى السوداني بعد فترة وجيزة من استئناف الشوط الثاني (49 د). في المباراة الثالثة ، يبدأ المغرب بفريق مغاير بإدخال أحمد نجاح (RBM) ورضوان الكزار وعبد الله التازي (الماص)، و مرة أخرى يسجل فوس مع الدقيقة 3.لكن قبل نهاية الشوط الأول بعشر دقائق ، سجل تعادل لاعب لوبومباشي (الحالي Tout Puissant Mazembe) مايانجا لصالح زائير. انتهت المباراة بالتعادل (1-1) ، وتم إقصاء المغرب للأسف لصالح زائير بعد إجراء القرعة. للتذكير، كان فيدينيتش ، مدرب أسود الأطلس خلال مونديال 1970 ، هو مدرب الزايير. أخيرًا ، تجدر الإشارة إلى أنه بنفس التشكيلة، سيستطيع المغرب نفسه التأهل للألعاب الأولمبية في ميونيخ بعد تفوقه على تونس ومالي. في الصورة الواقفون من اليمين إلى اليسار : أحرضان -يغشا (الجديدة)-الشريف - بوجمعة (الكاك)-نجاح (بني ملال)-الهزاز الجالسون من اليمين إلى اليسار: الغزواني (الجيش)-كالا (الكاك)-وزير (الجديدة)-العربي الشباك (سيدي قاسم)-التاز Source: page Facebook du journaliste "Oussama Benabdellah" Deux ans après le Mondial de Mexico, l’équipe nationale du Maroc participa à la Coupe d’Afrique des nations au Cameroun à Douala plus précisément. Sous la direction d’Abderrahim Belmahjoub, la sélection nationale prend donc part à l’édition du Cameroun pour la première fois et avec un entraîneur national pour cette phase finale. Le tirage au sort avait désigné le Maroc dans le Groupe de Doula qui comprenait également le Congo, le Soudan et le Zaïre. Lors de son premier match, le Maroc avait pour adversaire le Congo devant lequel il avait fait match nul (1-1). C’est Ahmed Faras qui ouvrit le score pour l’équipe nationale à la 34e minute, avant que le Congo n’égalise par Moukiba quelques secondes avant la mi-temps. Au second match, le Maroc affronte le Zaïre, face auquel, il se contenta également d’un match nul (1-1). Et c’est encore Ahmed Faras qui inscrivit le premier but des Marocains dès la 3e minute de jeu. Comme contre le Congo, la défense marocaine concède un but après une demi-heure de jeu. Abderrahmane Ben Mahjoub avait lors de ce second match, aligné l’équipe suivante : Allal (FAR), Boujemaâ (KAC), Abdellah (FAR), Khalifa (FAR), Wazir (DHJ), Najah (RBM), Maâroufi (DHJ), Mustapha (FAR), Faras (Chabab), Bouali (RAC), Tazi (MAS). Cela se passa le 29 février 1972 au stade Omnisport à Douala. Pour le troisième et dernier tour éliminatoire, le Maroc rencontra le Soudan. Un match que les coéquipiers d’Allal devraient gagner pour passer au deuxième tour. Ils ne réussirent pas à réaliser une victoire, et se contentèrent une fois encore d’un partage de points. Trois nuls pour autant de matchs, n’ont pas suffi aux nationaux pour gagner une qualification au tour suivant. Ils furent éliminés par tirage au sort. De retour au Maroc, Bel Mehjoub présenta sa démission, mais, sur insistance du Bureau fédéral et surtout du sélectionneur national à l’époque, Mehdi Belmejdoub, l’entraîneur revient et prend de nouveau en charge l’équipe nationale pour disputer les éliminatoires de la Coupe du monde 1974 en Allemagne. Source: le matin (journal marocain).
  9. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    @EL MAGNIFICO t'es hors sujet. Tu sautes sans slip. Y'a que toi qui pleurniche et personne ne parle de botoliste ou de local. Le sujet est la différence des moyens entre l'académie et les centres de formations des clubs. Revois ta copie.
  10. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    L' académie a bq bq de moyens et a aussi un super réseau. Larguet a bien posé ses pions par le passé que ce soit en EN ou dans des clubs européens. Ils sont partis assez jeune pour la plupart et pour pas grand chose. Les clubs ne peuvent pas vendre des jeunes talentueux pour rien. Déjà qu'ils ont du mal à les faire jouer en équipe A. Sinon une chose que tu ne peux pas enlever aux jeunes ou aux parents. C'est l'amour du club. Un jeune qui reve du Raja ou du Wydad va y aller droit au but et pissera sur l'académie. En tout cas jusqu'à un certain age.
  11. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    On sait tous qu'il ne font que recruter les bons éléments de la concurence. Combien de match les jeunes de cette fameuse académie ont perdu contre le Raja (qui est pauvre en moyen et riche en talent).
  12. maroccino a répondu à un(e) sujet de moms93 dans Lions de l'Atlas
    Vahid en fait pas, il en recoit Sinon je te salue pour pouvoir comprendre le vieux. Moi je ne comprends ni son language, ni sa tactique, ni rien du tout. Je me demande comment il fait pour parler avec les joueurs.
  13. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    garou markiz rouuuule
  14. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Botola Pro
    La faute est à mettre sur le dos d'une sotre de supporters, mais surtout aux adhérents qui ont élu ce pseudo président. Le Raja souffre énormement du statut actuel. Les adhérents prennent en otage le club et ultras ne font qu'enfoncer le clou. Benhalib doit être vendu. El Ouardi est un élément important et le vendre veut dire vider le milieu. Avec quelle liste alors irait on en CL? Kherya diyal da7k.
  15. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    Bof bof, on a pas non plus vu des stars...
  16. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    Non c'est justement le football marocain.
  17. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Lions de l'Atlas
  18. maroccino a répondu à un(e) sujet de essam dans Lions de l'Atlas
    En espérant qu'il va confirmer pendant la CAN au cameroune!
  19. maroccino a répondu à un(e) sujet de moms93 dans Lions de l'Atlas
    Comme d'habitude, l'EN marocaine fait du sociale plus qu'autre chose.
  20. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Botola Pro
    Hafidi aurait pu avoir une belle carrière sans 2 choses: 1- les blessures 2- la gestion catastrophique de l'EN. On perd Hafidi alors qu'on a même pas un bon remplacent. On perd de la qualité! Après tout Hafidi devait partir y'a quelques saison. Il a presque tout gagné avec le Raja. Il ne manque que la CL.
  21. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    Le FUS, le Raja par ex forment bel et bien des bons joueurs selon leurs moyens. Ce qu'il faut souligner par rapport à l'académie M6 est que (en tout cas) sous la direction technique de Larguet plusieurs joueurs ont piviligié plus que d'autres.
  22. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    Sauf que si tu comptes le temps de jeu de tous = Mounir l'espanole.
  23. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Botola Pro
    Que dire du Raja actuellement. 2ème place Quelle honte!
  24. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    De la rhétorique pure et dure
  25. maroccino a répondu à un(e) sujet de Pastore dans Équipes Nationales
    Banoun est toujours positif au Covid?

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