Nieme inscrption

*Binky wa Brain pour les locaux

Mais même en Europe les joueurs offensifs ne parviennent pas à percer, contrairement aux défenseurs et milieux. À l'exception d'En-Nesyri, qui est nul techniquement, ils sont tous retournés au Maroc et la plupart n'ont même pas brillé en Botola. Il est évident qu'il y a un problème de détection de talent et de formation.

Et on arrive toujours pas a produire des talent offensifs. L'académie n'a littéralement produit aucun buteur fiable ou ailier technique de haut niveau.

Kaabi qui transforme son penalty tranquillement

Les Belgix du forum nous ont menti comme d'habitude. Galik De Brruyne Edit: J'ai lu Khanouss outoun pour moi

Les gens ne se rendent pas compte a quel point on a fait marche arrière sur cette dimension. Le quartier Bernoussi avait une culture footballistique très dynamique.. Des tournois inter-collèges se déroulaient régulièrement au terrainJama3a près du college Tariq, des équipes de quartier jouaient chaque week-end au terrain Kwibina 7da lfaran. C'est là que Rachad Bernoussi a repéré, développé et fourni le Wydad et le Raja avec des joueurs comme Safri, Moubaraki, Zekroumi, Louissi...D'ailleurs, tous ont porté le maillot de l'équipe nationale. Malgré des ressources limitées, les parents étaient très enthousiastes à l'idée d'inscrire leurs enfants au football dès leur plus jeune âge. Lors des essais estivaux, le stade du Rachad était presque à pleine capacité avec des parents et de jeunes enfants tentant de rejoindre l'équipe. Depuis cette époque, la plupart des terrains de quartier ont disparu et même Rachad a vu son stade démoli pour la construction d'une station d'entretien de tramway à la place. En l'espace d'une décennie, ils ont complètement anéanti l'un des plus grands viviers du football casablancais. Qu'ils reconstruisent d'abord ce qu'ils ont détruit, et ensuite on pourra parler d'un plan next level.

Exécutant est un travail a temps plein, j'ai jamais dit qu'il était un employé fantôme. Le problème c'est que vous lui accorder du crédit dans des domaines qui relèvent de la diplomatie, de la politique et du social, allant au-delà de la FRMF et son président. C'est absolument lunaire.

What the... Je lis certaines choses qui me font douter que certaines personnes ici savent vraiment comment fonctionne leur pays. " Lekjaa veut la CAN en été " , ""Le boycott de la CAN en Algérie était une excellente décision de la part de Lekjaa." On ne devrait vraiment pas être surpris que les médias en Algérie, en Tunisie et en Égypte le traitent comme un super vilain tout-puissant alors que meme ici les gens semblent penser qu'il est le principal décideur dans tout ce qui concerne le football et non pas un simple exécutant.

Notre histoire avant 1998 n'est pas aussi longue que beaucoup le pensent. Ce n'est qu'après avoir remporté la CAN en 1976 que nous avons décidé de prendre cette compétition au sérieux. (Le Maroc a refusé d'y participer a 4 reprises avant 1976). Apres 1976 on fini 3eme en 1980, 4eme en 1986, et 4eme en 1988. C'est pas ouf mais c'est loin d'être ridicule et nous ne perdions que contre les élites. Le début des années 90 est un fin de cycle pour notre époque d'or et un bref passage à vide totalement logique. 1998 est vraiment une année cruciale. C'est l'année où nous sommes arrivés avec l'un des effectifs les plus talentueux du continent et avons fini par se faire tmarmad. Tous nos échecs depuis ont présenté certaines caractéristiques de ce que nous avons observé en 1998, que ce soit dans la construction de l'équipe, tactiques, mentalité des joueurs, etc. Si tu veux évaluer nos échecs, commence à partir de 1998. C'est là que tout a commencé.

C'est justement en 1998 que notre équipe nationale s'est détachée de la Botola et du contexte africain. Les gens font souvent du débat "local" vs "pro" une question d'identité et marocanité, alors qu'en réalité, notre incapacité à trouver un équilibre entre les joueurs locaux et ceux basés en Europe précède l'arrivée des binationaux. À la fin des années 90, on avait à la fois un bon vivier de joueurs marocains en Europe et des joueurs locaux qui excellaient dans toutes les compétitions africaines, notamment le Raja, champion d'Afrique à deux reprises. Une décision a été prise de s'appuyer sur les premiers dans l'équipe nationale et d'ignorer complètement les seconds. Certains joueurs bénéficiaient d'une carte blanche et étaient appelés simplement en raison de leur statut de joueur pro en Europe. Malgré des performances faibles et une inaptitude évidente à jouer en Afrique, ces joueurs étaient toujours convoqués, et certains d'entre eux formaient même l'ossature de l'équipe. N'oublie pas que seulement deux joueurs de l'équipe du Raja championne d'Afrique en 1997 ont été convoqués pour la CAN. Henri Michel ne comptait jamais sur eux, comme les bouche-trous botolistes de Renard. On refait la meme chose en 2000. Pendant ce temps-là, la Tunisie (finaliste 1996, demi-finaliste 2000) et l'Egypte ( champion 1998) obtiennent de bons résultats avec un vivier bien inférieur au notre. D'ailleurs l'ossature de l'équipe tunisienne demi-finaliste en 2000 étaient composé des joueurs du Taraji qui a perdu la CL a domicile contre le Raja...

T'as raison, j'ai complétement oublié son passage réussi avec Evian J'ai en mémoire que son passage raté à Marseille. Je reste encore sceptique quant à cette prétendue capacité tunisienne à exporter mieux que le Maroc. Nous savons tous les deux que des années 1960 aux années 1990, nous avons exporté tellement plus qu'eux qu'il n'est même pas utile de comparer. Mais puisque on parle des époques récentes, je ne pense pas qu'ils fassent mieux que nous, ni qualitativement ni quantitativement. Qualitativement, aucun de leurs joueurs a pu atteindre le niveau d'un Bounou ou un Aguerd. Meme El Kaabi est bien parti pour défoncer les stats de tous les tunisiens (locaux ET binationaux) en coupes d'Europe. Quantitativement, nous avons également exporté de nombreux joueurs qui ont fini par devenir titulaires dans des équipes européennes de première et deuxième divisions. El Adoua, Aberhoune, Fecal, El Yamiq, Agouzoul, Bouldini... Le souci avec attribuer cela à un problème mental est que nous devrons expliquer pourquoi ce soi-disant problème n'existait pas pour les joueurs marocains dans la décennie précédente, notamment dans les années 80 et 90, où nous avons exporté un nombre très élevé de joueurs. Je pense que le problème réside dans des aspects financiers et structurels. Problème 1 : Contrairement aux décennies précédentes, nos équipes ne donnent plus de chances aux jeunes joueurs. Ce qui fait que ces joueurs n'ont jamais l'occasion de jouer pour l'équipe nationale, ni avec l'équipe première ni avec les jeunes. Cela limite leurs chances d'être repérés par des équipes européennes cherchant à parier sur de jeunes talents. Quelqu'un comme Adil Ramzi, qui était titulaire au Kawkab à l'âge de 18 ans, n'aurait jamais eu sa chance dans la Botola d'aujourd'hui. Problème 2: L'explosion des salaires en Botola et la demande croissante des équipes du Golf ont fait de nos meilleurs joueurs un risque financier qui n'en vaut pas la peine pour les équipe Européennes. Un Hassan Nader coûtait bien moins cher qu'un Walid Azaro....

Quand je dis niveau CAF CL je parle de la qualité intrinsèque des joueurs, ça ne veut pas forcement dire que ces joueurs évoluaient en Afrique en Janvier 2012. Dans cette catégorie j'inclus les joueurs locaux qui ont tenté une aventure en Europe et il s'est avéré qu'ils n'avaient pas le niveau Européen. Dans le 11 tunisien je pense notamment a des joueurs comme Jemal et Khalifa. Pour donner un exemple marocain, Achraf Dari évoluait effectivement dans l'un des cinq meilleurs championnats européens lorsqu'il a participé à la Coupe du Monde 2022. Cependant, cela ne suffit pas à le qualifier de joueur de niveau européen...ça reste un joueur niveau CAF CL jusqu'à preuve du contraire. A part Abdennour, quel Tunisien local s'est imposé dans un championnat top 5 ces 10 dernières années?

Je n'ai rien remixé et je n'ai dit à aucun moment que ces équipes étaient constituées à 100 % de joueurs évoluant dans leur ligue nationale à ce moment-là. J'ai dit que ces équipes étaient du niveau de la Ligue des champions de la CAF parce que c'était vraiment le cas pour la majorité de leurs joueurs Regarde l'effectif de la Tunisie en 2012 et tu vas voir que leur 11 de départ tout au long du tournoi était principalement constituée de joueurs issue de clubs tunisiens (pas moins de 6 ), joueurs locaux qui avaient floppé ou qui étaient entrain de flopper en Europe avant de renter en Tunisie, et peut-être de 1 ou 2 joueurs qui avaient vraiment le niveau Européen. Sans renter dans le détail, ça reste un vivier plus au moins local et qui était nettement inférieur a ce qu'on avait a l'époque. Sinon j'ai du raté un épisode...depuis quand les locaux tunisiens s'exportent mieux que les nôtres? A part Haddadi qui joue en 2. Bundesliga et Abdi qui joue en Ligue 2 ils ont quoi comme export local? En comparant les listes de la CAN, c'est qui leur Bounou, Aguerd, et Kaabi?

C'est pas vraiment la meme chose quand meme. Les locaux Algériens sont plus au moins du meme niveau que les locaux Marocains et en plus il ont renforcé leur 11 avec 4 joueurs de L'équipe A championne d'Afrique. D'ailleurs ce n'était qu'une défaite sur TAB. Le plus interpellant c'est l'équipe A qui se fait souvent dominer en Afrique par des équipes niveau CL CAF (Tunisie 2012, Egypte 2021, AFS 2023) alors qu'ils sont censés être nettement supérieur sur papier.

Encoure une boulette aujourd'hui, digne de Dari avec Brest. sa lecture du jeu ne suit pas le rythme de la PL. Galik il mérite mieux que West Ham.....faut suivre les matchs avant de sortir ce genre d'aberration.

Discutable contre les équipes faibles qui vont garer un bus contre nous. Il n'apporte pas bcp offensivement.

Arrêtes Khouya, il a marqué dans toutes les compétitions

Amrabat doit rejoindre Marseille lu iaussi. La seule façon d'avoir un milieu de terrain fonctionnel est si quelqu'un d'autre fait le travail de Walid

Marseille joue en 4-3-3 avec Ounahi 6 et Harit 8?

Hefti est un pistonné incompetent. D'ailleurs Il serait toujours là si son incompétence n'avait pas embarrassé les personnes qui l'avaient placé à ce poste devant le monde entier (scandale Amrabat en CDM) ou devant de grands clubs européens (Bayern)

Ces équipes étaient principalement constituées de joueurs nés et formés dans leur pays. C'est seulement nous et l'Algérie qui avons des équipes nationales totalement déconnectées du football local du pays. Et même en comparaison avec l'Algérie, notre cas est encore plus unique. L'ossature de leur équipe provient d'un seul pays (la France), alors que la nôtre est formée en recrutant des joueurs de toute l'Europe. C'est pourquoi notre EN n' a aucun style spécifique ou identité footballistique.

Le mec fait le taf contre Bernando Silva, Bruno Fernandes, Joao Cancelo, Gavi etc...mais apparemment il n'a pas le niveau pour tenir tete a Thapelo Morena et Khuliso Mudau Fham tssata.

Il y a des circonstances atténuantes qui expliquent sa chute avec le Wydad (il voulait se casser l'année dernière). Avec l'équipe nationale, il est quasiment irréprochable. à l'exception d'un seul match contre la Côte d'Ivoire, il a été solide défensivement et offensivement chaque fois qu'il a joué avec l'équipe nationale. Douter de sa capacité à jouer au niveau international après la Coupe du Monde est lunaire.

C'est quoi le "niveau international" exactement? Yahia a largement le niveau pour débuter contre l'Afrique du Sud, faut pas déconner.

La plupart des Marocains ne savent même pas qui sont ces gens. Vous aurez du mal à trouver une vidéo d'eux avec plus de 100 000 vues. Le média sportif le plus influent reste Radio Mars, qui est à 100% pro-pouvoir. Je comprends pas pourquoi on parle de pression médiatique au Maroc et je me demande si les gens sont conscients de ce qui se passe dans d'autres pays. Regardes ce qui se passe en Égypte, où la pression provient de 362929304 chaînes de télévision, de la radio, de personnalités influentes sur Internet, de la presse écrite et numérique , et même du parlement. En Corée du Sud, l'échec en Coupe d'Asie est devenu une question politique et en ce moment, des politiciens influents appellent au limogeage de l'entraîneur On a quoi comme média sportif? Une chaîne sportive étatique, une radio sportive pro-pouvoir, une presse docile qui ne remet jamais en question le pouvoir, et des médias numériques presque inexistants. Si nos entraîneurs ne peuvent pas supporter la pression de 1 ou 2 commentateurs sur IG live et des commentaires anonymes sur Facebook, ils devraient peut-être envisager de changer de métier.