Benzema qui confirme qu’à partir de 30 ans, il n’a cessé de bosser encore plus pour se maintenir à ce niveau de jeu que requiert un club du standing et l’exigence du Real Madrid pendant que nos feignants d’internationaux pensent à aller s’enterrer dans le Golfe au même âge.
On peut ne pas aimer l’homme, son personnage et toutes les casseroles extra sportives qu’il a cumulé ces dernières années mais c’est une fierté pour beaucoup de maghrébins de France de voir un joueur issue de l’immigration, ayant grandit et vécu dans un quartier, remporter le BO. C’est un exemple de travail, abnégation, régularité et résilience au plus haut niveau européen et mondial.
Le sacre du Nueve fait l’unanimité, il a surclassé ses adversaires en Europe contrairement à celui de la saison dernière qui était totalement immérité. Le grand cocu récent restera Lewandowski qui devait l’avoir en 2020, au même titre que Sneijder en 2010 et Ribéry en 2013.