L'analogie a tout son sens car les générations se succèdent, mais les scénarios restent identiques. Notre rapport à l'enjeu, à la pression et aux gros événements est catastrophique, pas que dans le foot, mais dans notre sport en général.
Même un Badr Hari légende de son sport et de notre sport arrive à perdre sur blessure en maîtrisant un combat de bout en bout, mais il tente une retourné d'abr*ti à la fin alors qu'il gagne le combat sans ça.
Il reste une légende mais on manque cruellement de QI dans le sport. Même Hicham El Guerrouj avait failli être un poissard en gagnant tout sauf les JO, mais c'est l'un de nos seuls sportif à avoir réussi à casser ce plafond de verre et à gagner 2 médailles d'or aux JO. Et il le dit lui même la seconde est venu grâce à la première car il avait brisé ce blocage.
Toutes nos générations de foot échouent car ils se crispent quand ça ne tourne pas dans leur sens, et l'enjeu les tétanise au lieu de puiser dans d'autres ressources.
Il faut qu'ils prennent du plaisir sur le terrain, dédramatiser l'événement, jouer relâcher, montrer du vice quand il faut. Être lucide. De la génération 98 à maintenant dsl mais les scénarios se ressemblent, on se fait jamais explosé 4/0 on perd pas contre vraiment meilleur, mais on ne sait pas tuer quand il faut l'adversaire, et nos best joueurs, ne savent pas tuer les rencontres.
Dès qu'il y'a de l'enjeu, on ne sait pas gagner contre plus fort que nous comme sait le faire la Tunisie, et on ne sait pas battre les plus faibles que nous quand il y'a élimination direct comme n'importe quelle équipe fiable.
À quand de vrais préparateurs de match, à quoi ça sert de fixer toujours comme objectif de gagner la Can ou rien d'autres comme si on était des habitué des demis.
On perd souvent au Money time dans les dernières minutes, séance de péno on sait très bien que c'est perdu d'avance, pourquoi? Parce-que nous connaissons la limite mentale de nos joueurs.