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larrazet

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  1. larrazet

    Walid REGRAGUI

    N empêche qu' il a beaucoup de points communs avec son ex homologue algérien Belmadi: Il est né en banlieue parisienne Il a une modeste carrière de joueur pro en France avec une petite expérience à l étranger Il a eu une calvitie précoce Son meilleur ami dans le foot est Ouaddou C est le premier binational né à l étranger ex international à devenir sélectionneur de son pays Il a entraîné Al Duhail et gagné la Qatar League Il a coaché exclusivement en Afrique/Asie Il est arrogant/meprisant en conférence de presse Il a brillamment commencé avec sa sélection avec une performance XXL et s en galvanise à souhait, mais la suite fut plus difficile Il a un côté racaille qui ressort quand un joueur refusé de le saluer correctement (Benrahma pour l un, Mbemba pour l autre) Il s amuse à jouer le super technicien tacticien sur RMC Espérons qu il finisse mieux que l autre avec la sélection 😂😂🙏 (Je souhaite bien évidemment gagner la Can)
  2. larrazet

    Walid REGRAGUI

    Non tu peux me croire y avait pas de signature pendant un moment, elle est venue après 😉 j avais bien lu et copié telquel.
  3. larrazet

    Walid REGRAGUI

    Il aurait pu au moins signer son article
  4. Ce président c'est du n'importe quoi, que du buzz et du bling bling au lieu de construire une équipe sur du long terme comme avait fait son prédecesseur.
  5. larrazet

    Walid REGRAGUI

    Lettre ouverte à Walid Regragui C’est la première fois que j’utilise la première personne du singulier dans cette chronique hebdomadaire. Je vais également employer le tutoiement, puisqu’elle s’adresse à une personne que je connais depuis près de 25 ans, avec qui j’ai eu des discussions franches et sincères sur le football en général, et sur l’Équipe nationale en particulier. Par Le360 Sport Le 11/06/2025 à 18h00 Très cher Walid, Je t’écris cette lettre que tu liras peut-être… ou pas du tout. Je sais que tu es très pris, et que presque chaque instant de ton quotidien est dédié à préparer notre rêve à tous: gagner la CAN à domicile et exorciser cinquante ans de déceptions, d’attente et de frustrations. Combien de fois avons-nous, toi et moi, échangé à ce sujet? Je pense que l’opinion publique a le droit de le savoir. Et puisqu’il y a prescription, permets-moi de dévoiler quelques confidences que tu m’avais livrées, à froid, après l’échec de la CAN 2006. Nous étions dans l’avion du retour, celui qui devait nous ramener du Caire à Casablanca. La désillusion vécue lors de cette édition était tellement profonde que tu n’avais pas hésité à livrer le fond de ta pensée: tu avais évoqué les dysfonctionnements rencontrés en Égypte et pointé du doigt le comportement de quelques pseudo-vedettes. Deux ans plus tôt, au lendemain de la réception triomphale après l’épopée de Tunis, tu avais déjà eu le recul nécessaire pour analyser la gestion ratée de la finale perdue face à la Tunisie. C’est dire, cher ami, que tu as vécu dans ta propre chair nos multiples échecs à la CAN. Tu les as subis en première ligne. Et en janvier 2024, tu as reçu une nouvelle piqûre de rappel à San Pedro, face à l’Afrique du Sud. Ce «bug» a davantage crispé l’opinion publique, et surtout entamé une partie du crédit que tu avais auprès des 36 millions de sélectionneurs que compte notre cher pays. Cher Walid, j’en viens à l’objet de ma lettre. J’ai été le témoin privilégié de ton one-man-show à Fès, quelques minutes après le coup de sifflet final de Maroc–Bénin. Permets-moi de saluer ton honnêteté lorsque tu as jugé la prestation de tes troupes. Permets-moi aussi de reconnaître que tu es dans ton rôle en protégeant tes joueurs, en rappelant les inconvénients de la date FIFA de juin, la charge des matchs, les blessures, les absences, etc. Mais fallait-il vraiment hausser le ton de cette manière devant les médias, et donc, par ricochet, devant l’opinion publique? Était-ce indispensable d’exhiber ton bilan et de rappeler tes douze victoires consécutives après un match qui, très honnêtement, ne restera pas dans les annales? Sache que tous les éléments que tu pourras mettre en avant appartiennent désormais au passé. Tu seras constamment jugé sur le match suivant, et l’examen final aura lieu lors de la CAN. En cas d’échec, ton avenir tiendra à un fil. C’est la dure loi du métier. En t’écoutant ce soir-là -moment jouissif, il faut le dire, pour le journaliste que je suis- j’ai eu l’impression que tu cherchais à te défendre non pas contre les journalistes présents, mais face à ton propre environnement. Comme si les messages que tu envoyais ne s’adressaient pas directement à ceux qui t’interrogeaient sur le match, le jeu et les joueurs. Ton langage corporel était tendu, presque en contradiction avec ton discours, comme si toi-même n’y croyais qu’à moitié. Un discours d’ailleurs centré autour d’une date: 2022. Cher ami, nous te remercions tous pour ce que tu as accompli au Qatar. Mais je pense qu’il est temps de descendre de ton nuage, ou de ta tour d’ivoire. Nous sommes en 2025, et le vrai défi t’attend chez nous, dans des conditions idéales non seulement pour les Lions de l’Atlas, mais aussi pour leurs rivaux. Qatar 2022, avec ses magnifiques images, a sa place au musée de la FRMF et dans nos albums photos. Pas davantage. Avant toi, d’autres sélectionneurs ont cru être en position de force: Mardarescu après 1976, Faria après 1986, Henri Michel en 1998, ou encore Renard après la qualification pour 2018. Tous ont échoué, et tous ont été démis après la CAN suivante. C’est la règle du jeu. La triste réalité, celle qui transforme en un clin d’œil les héros en zéros. Très cher Walid, lundi soir tu as exhibé tes diplômes. Ils témoignent de ta persévérance et prouvent que tu t’es donné les moyens d’occuper ce poste. Mais beaucoup te jalousent, et attendent le moindre faux pas. Pas seulement sur le terrain: dans l’exercice périlleux de la conférence de presse aussi. Ta dernière sortie m’a d’ailleurs rappelé celle de ton prédécesseur, qui se retranchait derrière son bilan. Elle ressemblait aussi à celle d’un certain Belmadi, chez nos voisins. Et franchement, en tant qu’homme de médias mais surtout en tant que citoyen, je n’ai pas envie de voir mon Walid «se belmadiser» ou adopter la rhétorique défensive d’un Vahid. Pour conclure, tu vas sans doute bientôt prendre des vacances méritées… et studieuses. Prends le large, aère-toi l’esprit, évite les débats toxiques, et surtout mûris les bonnes décisions. En septembre, nous voulons retrouver un Walid en forme, souriant, apaisé, moins sur la défensive. Et sur le plan footballistique, je suis en droit, comme tous les Marocains, d’attendre un groupe resserré, soudé, compétitif. Un collectif qui propose un jeu cohérent, avec des connexions claires, des circuits précis, un milieu qui joue vers l’avant, où certaines Prima Donna pensent davantage au collectif qu’à leur image. Et enfin, sache que nous voulons tous créer autour de toi un élan populaire pour aller chercher cette CAN, et enterrer définitivement nos vieux démons. Pour que toi et moi, un jour, lorsque nous serons à la retraite, nous ne soyons pas contraints de ressasser le passé en disant, avec un soupçon d’amertume, que cette génération dorée est passée à côté d’une coupe qui lui tendait les bras. Amicalement, et sans rancune, cher ami. Par Le360 Sport Le 11/06/2025 à 18h00
  6. larrazet

    Les matchs amicaux

    Pourtant les blocs bas nous mettent en difficulté depuis des années, sous renard (bénin ou d autres), vahid( Malawi ou d autres) et Regragui. On est souvent sauvé par des coupe de pieds arrêtés, et ça semble pas s arranger.
  7. Titulaire contre la Tunisie pourtant, et pas terrible.
  8. Tu veux dire comme la supercoupe d Espagne 2018 à Tanger ou le Mondial des clubs 2013 😂, on apprend toujours pas de nos erreurs
  9. larrazet

    Coupe du Trône

    Berkane mène 2 à 0 à Marrakech contre le KAwkab au stade Harti (le champion de D1 contre celui de D2 .
  10. larrazet

    Achraf HAKIMI

    Non ceux que j ai cité n ont pas gagné le Graal avec l équipe, qui a gagné juste après leur départ, comme Mbappe.
  11. larrazet

    Achraf HAKIMI

    Difficile à dire, peut-être que oui, peut-être que non. Un peu comme l OM sans JPP en 93, l Espagne sans Raul en 2008,10,12 et la Côte d Ivoire sans Drogba en 2015.
  12. Même après les gigantesques travaux de 2016 puis 2019, on a pas vu de gros changement. Ils disent toujours “vestiaires, zone médicale, éclairage,etc”
  13. larrazet

    Achraf HAKIMI

    Sauf que cette fois ci il n y aucune concurrence. Hormis Salah bien sûr (champion et meilleur buteur d Angleterre), mais nord africain aussi. Qui d autre ? Anguissa le camerounais champion d Italie? Hakimi est quasi sûr de l avoir.
  14. Non pas fermé pour rénovation, elle a été terminée il y a longtemps. Fermé pour empêcher des mouvements de foule voire des incidents de supporters qui pourraient perturber le tourisme. Bizarre d ailleurs une ouverture le 1 juin.
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